vendredi 29 juin 2007

Nawal Al Zoghbi - Aghla El Habayeb



تبقى اغلى الحبايب مهما تبعد يا غايب انت كل الهوى

مين قالك بنسى حبك حبيبي كثير بحبك لازم نرجع سوى
قلبي لغيرك ما انكتب صدق ما بعرف شو السبب انت حبيبي والعتم مرفوض
تبعد انا ببقى انا برجع انا حبك انا انت انا انسا هواك ممنوع
تبقى اغلى الحبايب مهما تبعد يا غايب انت كل الهوى

مين قالك بنسى حبك حبيبي كثير بحبك لازم نرجع سوى
بعدك ماراح اعرف حدا لا اسمع صوت ولا صدى انت غرامك بالقلب والروح
حبك هنا بعدك ضلا عنك انا مالي غنى سحرني بكلماتك يا حبيب الروح
تبقى اغلى الحبايب مهما تبعد يا غايب انت كل الهوى

مين قالك بنسى حبك حبيبي كثير بحبك لازم نرجع سوى

jeudi 28 juin 2007

Buenos Amigos


Érase una vez una mujer y un tipo que disfrutaban la sencillez de ser amigos. Amigos como existen muchos en el mundo y se tienen pocos en la vida. Se conocen casi por accidente un día cualquiera del que incluso ya se olvido la fecha; suelen verse poco y con ganas, charlar largo y tendido, despedirse en corto más siempre con esperanzas. Ella suele caminar a su diestra (por consenso) y Él reposa de vez en vez los ojos (y no siempre por accidente) en sus caderas pero sólo ha de ser por un momento, porque son amigos.

Cuando hablan, suelen beber café negro mientras se fuman todos los pesares, después habrán de recriminarse esos malos hábitos que mutuamente se acarician y aunque comparten la mesa y uno que otro sueño, nunca pensarían en hacer lo mismo con una hipoteca o un cepillo dental. Como todo el mundo, tienen días malos de “cada quién por su lado” en los que Él suele “putear” la vida y Ella inventarse frases que hacen taparse las orejas al mismo cielo. Después, ya estando juntos, Ella estallará en risas que Él habrá de responder con una media sonrisa más bien chueca; otras veces “no tan malos” en que Él se empeña en usar palabras grises. Ella, como es justo de esperar, suele darles color y para no quedar mal con los presentes indiscretos, las adereza con alguna “patadita medida en el trasero”. ¿Qué le vamos a hacer?... así son los amigos.

Ella le habla de su amor devoto al trabajo, Él como contrapeso, de mujeres pasadas, reales y una que otra inventada. No tienen problemas con afiliación política, sindical o religiosa más nunca se les ha oído hablar de corazones rotos... bueno... sí de alguno, pero de esos que ya no valen de tan sobados. Hay que respetar el silencio de los amigos. Aunque ya han reposado la nariz en el hombro del otro, jamás fue más allá del tiempo justo que la moral manda; ni Él ha sentido temblar el pecho de Ella tan cercano al suyo... ¡Dios nos libre!... sólo son amigos.

Ella le habla y escucha atenta por teléfono pues es una excelente interlocutora que tiene en Él un pésimo copiloto, quien nunca sabe dar razones de camino y al tiempo va dando palmaditas con los ojos a otras caderas que no le son vedadas, aunque es justo decir que es sólo a ratitos; el respeto también es cosa de amigos. De vez en vez suelen darse regalos, cosas lindas que dan calorcito al alma pero que no despiertan sospechas. ¿Qué diría la gente si al abrir la caja surgieran vinos, perfumes o lencería?. ¡Jamás!... sólo son amigos.

Cada quién lleva su vida y obra por su parte, con familia y otros amigos por separado. Justo es decir aquí que no se tienen en exclusiva. Se conocen manías y quizás algún pecadito, pero no se piden nada mas allá de la moneda que pueden ser los consejos. Con todo, hoy la cosa ha cambiado. El semáforo esta algo lento ahora que ha llegado la hora de despedirse. Después del sincero “nos vemos pronto”, Él ha girado (no sabemos si con malicia) la cabeza un par de centímetros más a la izquierda, como buscándose el corazón mientras Ella no hace nada por corregir el rumbo del beso que se ha posado en esa zona que, si bien no son labios, ya ha dejado de ser mejilla. Lo ha dejado añejarse un segundo más de lo normal. Nadie dice nada aunque Ella contiene el aire y Él tiene ojos que quisieran llorar. Suenan las bocinas vecinas, ya ha cambiado la luz al verde; Él habrá de bajar con el coche casi en marcha y Ella meterá segunda mientras una sonrisa y una maldición pequeñita habrán de surgir por lo bajo. “Tranquila mujer, mañana es día de trabajo”.

Él se encuentra un asiento vació en el bus y una falda desocupada para su mirada. Hoy no habrá llamada, dejemos que nadie diga nada. El teléfono no se olvidará de sonar al día siguiente: “¿Quieres tomar café?. ¿Que harás mañana?”. Ella le enseñara su lengua en tono de burla, se les iluminará el rostro al verse. Son buenos amigos... ¿Qué esperaban?.

mercredi 27 juin 2007

Les trésors

La Vie peut être un océan de souffrance, de tristesse,
fait de milliards de larmes, mais à l'intérieur de chacune de ces larmes
réside une perle qui est comme un joyau.


L'être humain possède en lui des trésors, chacun quel qu'il soit
a ses propres trésors. Soyez certains que vous aussi avez des trésors
qui ne demandent qu'à être révélés. Ayez confiance en vous,
observez vous et observez le monde avec les yeux du coeur.
Ecoutez votre petite voix intérieure qui vous dit ce qui est bon
pour vous et vous marcherez sur le sentier qui vous mènera
à la découverte de votre richesse intérieure.
Chaque être humain est unique et incomparable.
La plupart du temps le fait de se comparer aux autres engendre
de la souffrance ou vient alimenter notre orgueil.

Comme cette magnifique rose sauvage qui ne se trouvait pas belle
parce qu'elle avait devant elle une prairie recouverte de pissenlits.
Elle voulait absolument être comme ces fleurs jaunes,
avoir la même couleur, le même parfum, pour correspondre
aux critères qu'elle se faisait de la normalité.
Elle ne se doutait pas un instant que nombreuses étaient
celles qui la regardaient avec envie et qui souffraient en silence
de ne pas se distinguer de la masse comme savait si bien le
faire cette belle inconnue au parfum sauvage.

A chaque fois que vous vous comparez aux autres,
qu'ils sont plus ceci ou moins cela, ce qu'ils ont ou ce qu'ils n'ont pas,
comment ils sont etc..., observez et ressentez ce qui se passe en vous.
Vous avez vos trésors intérieurs et les autres ont leurs trésors,
découvrez les votres et ouvrez votre coeur afin de percevoir
ceux des autres sans entrer dans les comparaisons.

Lorsque vous vous trouvez en face d'une fleur,
que vous la regardez, que vous sentez son parfum,
la sérénité vous envahit et la douceur touche votre coeur.

Ainsi lorsque vous vous trouvez en face d'un être humain,
regardez-le avec le même regard, la même attention
que s’il s’agissait d'une fleur et votre coeur s'ouvrira.

Il peut arriver qu'on ne comprenne pas les agissements
de telle ou telle personne, alors on peut se laisser aller
à porter un jugement, à critiquer ou à se moquer,
c'est tellement plus facile de juger que d'essayer de comprendre.

La compréhension ouvre la porte de l'amour et de la compassion.
Chaque être est différent et parcoure son chemin de vie
à sa façon, avec les outils et les moyens qu'il a à sa disposition.



Pour beaucoup d'entre nous réussir sa vie signifie réussir socialement,
c'est-à-dire avoir une famille, un bon travail bien rémunéré,
peut-être une maison, une belle voiture, des amis etc..
Pour beaucoup de gens la réussite signifie avant tout accumuler
des richesses matérielles ou gravir les échelons du pouvoir
croyant que leur bonheur est dépendant de cela.

Combien de gens arrivent en fin de vie en ayant le sentiment
d'être passé à coté de quelque chose d'essentiel ?
Pourtant l'essentiel se tient dans l'instant présent et
il se révèle lorsque l'on porte un regard profond sur la vie et la création,
sur soi et les autres, sur toutes ces petites choses qui font partie
du monde. Un regard profond et non une analyse mentale, un regard
avec tous les sens en éveil et la conscience d'être là en train d'observer.
Ce n'est que dans le moment présent que la vie est réelle
et que nous sommes réels également.
C'est au coeur de cette réalité que se révèlent les trésors de la Vie,
de chaque être humain et de tout ce qui Est.

Allez-vous passer toute votre vie à côté de l'essentiel ?
Ou allez-vous vous autoriser à être pleinement ce que vous êtes ?
Cet Etre merveilleux et lumineux qui se tient en silence
derrière l'apparence de votre identité.

Tous ces biens que nous accumulons sont autant de liens
qui nous enferment dans une prison dorée.
Nous devenons de plus en plus dépendants de toutes ces choses
auxquelles nous nous attachons et plus nous avons d'attaches
plus nous nous créons des raisons de souffrir.

Imaginez que vous faites un rêve et dans ce rêve vous êtes un mendiant,
vous traînez dans les rues à la recherche de nourriture dans les poubelles.
Les gens se détournent de vous et vous n'avez ni famille ni amis.
Au matin vous vous réveillez dans votre belle maison et vous vous dites :

" Ouffff ce n'était qu'un rêve ".

Mais jamais vous n'allez dire :

" J'ai raté mon rêve " .

De même lorsque vous vous réveillerez du rêve de votre vie vous ne direz pas :

" J'ai raté ma vie ".

Vous serez sereins et contemplerez l'étendue de votre parcours
en comprenant pourquoi vous avez vécu cette aventure.
Notre âme nous guide pas à pas sur le chemin que nous avons choisi
de parcourir, elle nous met en relation avec les gens et les situations
qui nous permettent de poser un pas de plus sur le sentier.
C'est cela que parfois nous nommons hasard, coïncidence ou syncronicité.
Avoir confiance en la Vie, c'est avoir confiance en notre âme et en nous-même
et si parfois certains pas que nous devons poser sont difficiles
ou douloureux, nous pouvons rester curieux de voir ou cela va nous amener.

Tout a un sens et rien n'arrive par hasard,
chaque chose et chaque événement a sa raison d'être
et tout cela a pour but de nous amener à la pleine conscience.

mardi 26 juin 2007

Le tourbillon de la vie




Elle avait des bagues à chaque doigt,
Des tas de bracelets autour des poignets,
Et puis elle chantait avec une voix
Qui, sitôt, m'enjôla.

Elle avait des yeux, des yeux d'opale,
Qui me fascinaient, qui me fascinaient.
Y avait l'ovale de son visage pâle
De femme fatale qui m'fut fatale {2x}.

On s'est connus, on s'est reconnus,
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus d'vue
On s'est retrouvés, on s'est réchauffés,
Puis on s'est séparés.

Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie
Je l'ai revue un soir, hàie, hàie, hàie
Ça fait déjà un fameux bail {2x}.

Au son des banjos je l'ai reconnue.
Ce curieux sourire qui m'avait tant plu.
Sa voix si fatale, son beau visage pâle
M'émurent plus que jamais.

Je me suis soûlé en l'écoutant.
L'alcool fait oublier le temps.
Je me suis réveillé en sentant
Des baisers sur mon front brûlant {2x}.

On s'est connus, on s'est reconnus.
On s'est perdus de vue, on s'est r'perdus de vue
On s'est retrouvés, on s'est séparés.
Dans le tourbillon de la vie.

On a continué à toumer
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.
Puis on s'est réchauffés.

Chacun pour soi est reparti.
Dans l'tourbillon de la vie.
Je l'ai revue un soir ah là là
Elle est retombée dans mes bras.

Quand on s'est connus,
Quand on s'est reconnus,
Pourquoi se perdre de vue,
Se reperdre de vue ?

Quand on s'est retrouvés,
Quand on s'est réchauffés,
Pourquoi se séparer ?

Alors tous deux on est repartis
Dans le tourbillon de la vie
On à continué à tourner
Tous les deux enlacés
Tous les deux enlacés.


lundi 25 juin 2007

Los problemas

- Un problema a los 5 años puede ser que mamá no te compre un juguete.
- Un problema a los 9 años puede ser que se te desinfle la pelota.
- Un problema a los 15 años puede ser suspender un examen.
- Un problema a los 20 años puede ser que el muchacho que te guste, no guste de ti.
- Un problema a los 30 años puede ser la gripe de tu bebé.
- Un problema a los 40 años puede ser quedarte sin trabajo.
- Un problema a los 60 años puede ser tener a los hijos lejos.
- Un problema a los 80 años puede ser una enfermedad.
En cada etapa de nuestra vida podemos vivir los problemas dramáticamente.
Sin embargo... ¿Qué tamaño tienen esos problemas, si los miras a la distancia?
Algunos casi desaparecen
¿Hacía falta preocuparse tanto?
¿Hacía falta quedarse sin dormir?
¿Hacía falta hacerlos tan importantes?
¿Cómo hubiera sido un comportamiento más efectivo?
La preocupación no vacía el mañana de problemas; vacía el hoy de su fuerza.
Observa con cuidado los grandes problemas, pues disfrazan las grandes oportunidades.
La palabra problema no solo tiene una connotación negativa, sino que hace referencia a algo que ocurre y está afuera de nosotros. Pareciera que no tenemos nada que ver con ellos. Simplemente suceden...
Sin embargo, otra mirada podría ser verlos desde nuestra posición de responsabilidad.
- ¿Qué hice yo para que se desinfle la pelota?
- ¿Qué hice yo para suspender el examen?
- ¿Qué puedo hacer yo para atraer al muchacho?,
ó
- ¿Para qué interpreto que eso es malo?
Cuando volvemos la mirada hacia el observador que somos, podemos ver que el "problema" deja de vivir afuera para pasar a existir en nuestra interpretación.
Ver lo que te sucede como un problema es sólo ver una parte de lo que te pasa.
La otra parte sería poder ver la posibilidad que se te revela, y el desafío de encontrar el aprendizaje en esta oportunidad.
Cambiando nuestra mirada se abren para nosotros posibilidades que antes no existían:
- Cambiar la interpretación por otra que nos sirva.
- Observar de qué manera podemos hacernos cargo de lo que ocurrió.
- Considerar qué vamos a hacer en el futuro con eso.
Algunas veces ocurren hechos que no pueden ser reinterpretados, los observamos como negativos... ¿Pero cuánto tiempo nos vamos a quedar en esa emocionalidad?, o ¿Qué vamos a hacer a partir de eso?
Es una elección que nos pertenece y nos da poder.
La felicidad no es la ausencia de problemas, sino la habilidad de salir adelante con ellos.
Podemos ver alguna relación entre la forma de interpretar los problemas y la manera de lograr objetivos:
- El perdedor se siente parte del problema, el ganador siente que es parte de la solución.
- El perdedor ve un problema en cada solución, el ganador ve una solución en cada problema.
La vieja formulación de los problemas suele dejar un solo curso de acción, que es el de resolverlo, mientras que la nueva postura se inclina más por reformularlos que por resolverlos. Si cambiamos la interpretación que lo constituye podemos estar frente a una oportunidad.
Sostenemos que muchos de los "problemas" que vivimos a diario se disuelven como tales o se convierten en oportunidad de aprendizaje si variamos el juicio y la interpretación que los sostiene.
Cierto día, en un Castillo de Guerreros Chinos se encontraron con la muerte de uno de sus guardianes y fue preciso encontrar un substituto.
El Gran Maestro convocó a todos los discípulos para determinar quien sería el nuevo centinela.
El Maestro, con mucha tranquilidad y calma, dijo:
- "Asumirá el puesto el primer guerrero que resuelva el problema que voy a presentar".
Entonces colocó una magnifica mesita en el centro de la enorme sala en que estaban reunidos y encima de ésta, colocó un jarrón de porcelana muy raro, con una rosa amarilla de extraordinaria belleza en él y dijo así:
- "¡Aquí está el problema!"
Todos quedaron asombrados mirando aquella escena: Un jarro de extremo valor y belleza, con una maravillosa flor en el centro. ¿Qué representaría?, ¿Qué hacer?, ¿Cuál es el enigma?
En ese instante, uno de los discípulos sacó una espada, miró al Gran Maestro y a todos sus compañeros, se dirigió al centro de la sala y destruyó todo de un solo golpe.
Tan pronto el discípulo retornó a su lugar, el Gran Maestro dijo:
- "Usted será el nuevo Guardián del Castillo"
Tras un minuto de rumores entre los perplejos discípulos, el Gran Maestro dijo:
- "Yo fui bien claro: dije que ustedes estaban delante de un "problema. No importa cuán bello y fascinante sea un problema, tiene que ser enfrentado.
No huyas de él... ¡Cambia la interpretación que lo convierte en un problema!
- ¿Cuántos de tus problemas pasan a tener menos importancia con esta postura?
- ¿Cuántos de tus problemas podrían desaparecer?
- ¿A cuántos les puedes cambiar la interpretación, para ser más feliz?
El MIEDO siempre es el problema, el AMOR es siempre la solución.

vendredi 22 juin 2007

Petites histoires


L'incapacité, ou plutôt la non-disposition du mental humain à lâcher le passé
est parfaitement illustrée dans l'histoire des deux moines zen, Tanzan et Ekido,
qui marchaient sur une route de campagne extrêmement boueuse après
des pluies torrentielles. Près d'un village, ils croisèrent une jeune femme
qui tentait de traverser la route. La boue était si profonde qu'elle aurait
abimé le kimono de soie qu'elle portait. Tanzan la prit sur ses épaules
d'un coup et la transporta de l'autre coté de la route.
Puis les moines reprirent leur route en silence. Cinq heures plus tard,
alors qu'ils approchaient du temple où ils allaient loger, Ekido ne put se contenir
plus longtemps. "Pourquoi as-tu porté cette femme ?" demanda-t-il.
"Nous sommes des moines. Nous ne sommes pas censés faire des choses pareilles."
"Je me suis délésté de la femme en question il y a des heures
lui repondit Tanzan, mais toi tu la portes encore, il me semble."

Extrait du livre Nouvelle Terre de Eckhart Tolle



Trois moines Tibétains se sont retiréspour méditer dans une grotte. Au bout de deux ans, un cheval sauvage entredans la grotte et en ressort aussitôt. Deux ans plus tard, le premier dit: - Quel beau cheval blanc !!! - Quatre ans plus tard le second dit : - D'abord il était pas blanc, il était gris. Six ans plus tard, le troisième dit: - Puisque vous faîtes que de vous engueuler, je me casse.


- Le berger aime tous les temps -

Le voyageur :"Quel temps allons-nous avoir aujourd'hui ?"Le berger :"La sorte de temps que j'aime bien."Le voyageur :"Comment savez-vous que ce sera la sorte de temps que vous aimez bien ?"Le berger :"Je me suis rendu compte, Monsieur, que je ne peux pas toujours obtenir ce que j'aime, alors, j'ai appris à aimer ce qui m'est donné. C'est pourquoi je suis parfaitement sûr que nous allons avoir la sortede temps que j'aime bien".Bonheur et malheur résident dans la manière dont nous prenons les choses, non dans la nature même de ces choses.

Accepter le quotidien est pour chacun la chose la plus difficile.
On ne veut pas vivre sa vie, on veut vivre une vie différente, celle qu'on
a rêvée ou celle des autres. Mais on ne progresse qu'en remplissant
d'une présence attentive ses petits moments sans histoire. Lorsque l'on accepte de vivre chacun de ces instants, sans attendre autre chose, on bâtit une
plénitude que rien ne peut attaquer. C'est alors que, dans notre vie, rien ne se perd, qu'au contraire tout se crée.


- LA VIE -

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,et le fermier se demandait quoi faire.Finalement, il a décidé que l'animal était vieux etle puits devait disparaître de toute façon.Ce n'était pas rentable pour lui de récupérer l'âne.Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à enterrer le puits.Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisaitet se mit à crier terriblement.Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalementregardé dans le fond du puits et a été étonné de ce qu'il a vu.Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,l'âne faisait quelque chose de stupéfiant.Il se secouait pour enlever la terre de son dos et montait dessus.Pendant que les voisins du fermier continuaientà pelleter sur l'animal, il se secouait et montait dessus.Bientôt, chacun a été étonné que l'âne soit hors du puitset se mit à trotter!La vie va essayer de vous engloutir de toutes sortes d'ordures.Le truc pour se sortir du trou est de se secouer pour avancer.Chacun de nos ennuis est une pierre qui permet de progresser.Nous pouvons sortir des puits les plus profondsen n'arrêtant jamais...Il ne faut jamais abandonner!Secouez-vous et foncez!Rappelez-vous les cinq règles simples!Pour être heureux:1. Libérez votre coeur de la haine.2. Libérez votre esprit des inquiétudes.3. Vivez simplement.4. Donnez plus.5. Attendez moins.A ne jamais oublier, surtout dans les moments les plus sombres.


- Le vieux cheval -

Un vieux fermier possédait un vieux cheval aveclequel il labourait ses champs.Un jour le cheval s'enfuit vers les collines.Aux voisins qui le prenaient en sympathie,le vieillard répondit:" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "Une semaine plus tard, le cheval revint des collinesavec un troupeau de chevaux sauvages,et les voisins félicitèrent le fermier pour sa bonne chance.Il répondit encore :" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "Puis, lorsque son fils, voulant dompterun des chevaux sauvages, fit une chute et se brisa la jambe,tout le monde crût que c'était une grande malchance.Le fermier, lui, se contenta de dire :" Chance ou malchance, qui peut le dire ? "Quelque semaines plus tard, l'armée entra dans le village,et mobilisa tous les jeunes gens valides.Quand ils aperçurent le fils du fermier avec sa jambe cassée,ils le dispensèrent du service.Etait-ce de la chance ? de la malchance ? qui peut le dire ?Tout ce qui à première vue peut être un mal, peut, en fait,être un bien déguisé.Et tout ce qui à première vue semble un bien,peut en réalité être un mal.


Il y a 2 jours par semaine où l’on devrait pas s’inquiéter,2 jours sans appréhension, ni peur.Le premier, c’est hier, avec les erreurs commises,les faux pas, les regrets et les douleurs. Hier est passé et maintenant hors de notre contrôlepour toujours. Tout l’argent du monde ne peut ramener hier.Il est impossible de reprendre une actionou d’effacer une parole.Hier est passé!L’autre jour qui ne devrait pas nous inquiéter, c’est demain;avec ses adversaires impossibles, ses fardeaux,ses promesses d’espoir et son peu de contrôle.Demain, le soleil se lèvera dans toute sa splendeurou derrière un masque de nuages. Mais soyez certain, il se lèvera !Et avant qu’il ne se lève, il n’y a rien à faire,car le jour n’est pas né. Il ne reste donc qu’aujourd’hui.Chacun de nous peut faire face aux batailles d’un jour.C’est seulement quand on ajoute les fardeaux d’hierà ceux de demain que l’on ne peut continuer. Ce ne sont pas les expériences quotidiennesqui mènent à la folie. Ce sont les remords d’hier accompagnés des craintes de demain.Il faut donc vivre un jour à la fois!

jeudi 21 juin 2007

Festival gnaoua, déjà dix ans !

Du 19 au 24 juin, Essaouira accueille son dixième Festival gnaoua-musiques du monde.

Et de dix ! Le Festival gnaoua souffle sa dixième bougie le 19 juin 2007. Et comme il s’agit d’une nouvelle page pour cette manifestation, qui a beaucoup marqué non seulement Essaouira mais tout le mouvement culturel du Maroc, elle ne sera pas comme les autres. Elle sera avant tout la célébration d’un parcours où émotion et musique ne font qu’un: une langue universelle. Pas question d’une simple «folklorisation» de la musique gnaouie, ce festival a misé sur l’ouverture sur d’autres cieux, malgré les critiques conservatrices que cela aurait pu soulever. Et il avait bien raison, car, au fil de son expérience, le festival souiri a forgé sa propre identité devenant le «Woodstock marocain».

Le temps est venu donc pour s’y retrouver tout au long de cinq jours d’anthologie. Des rythmes de bien de chez nous et d’autres venus des quatre coins du monde trouveront, pour l’occasion, un point de jonction dans la cité des vents.
Manifestations interculturelles, concerts, projections… Toute la ville, à travers neuf scènes, fêtera cet anniversaire. Pour une occasion spéciale, un menu spécial : le programme ne fera pas abstraction de la règle en joignant l’utile à l’agréable. Première escale, mardi 19 juin, les mélomanes auront le droit de plonger dans le bain de la musique traditionnelle dès 22h. Aux riads ainsi qu’à la zaouia des H’madcha, des concerts acoustiques vous emporteront vers les origines mêmes des musiques gnaouies.

Initiation pour les uns, nostalgie pour d’autres, ces premiers concerts vous rapprocheront de l’âme des maâlems gnaouis qui en ont fait leur raison d’être. Commence alors le voyage de la découverte avec, pour le mercredi 20 juin, une parade déambulatoire dans la ville (18h) de musiciens gnaouis, de marionnettes géantes et de la troupe Orishaté de Cuba. Les Souiris auront l’occasion de partager la joie du festival dont ils sont les premiers concernés. Et c’est dans le même état d’esprit qu’un concert d’ouverture sera donné à 19h sur la place Moulay Hassan, suivi à minuit, pour les couche-tard, de plusieurs autres concerts gratuits de gnaoua, dans l’ensemble de la médina. Honneur toujours aux maâlems.

Comme à son habitude, le festival sera le leur, celui de la reconnaissance d’un savoir à la fois individuel et collectif. Cette édition 2007 rendra plus précisément hommage au maâlem H’mida Boussou, décédé samedi 17 février dernier.

A la grand-messe, 25 groupes gnaouis et près de 250 artistes marocains et 150 étrangers feront bouger Essaouira. Les meilleurs musiciens ayant fait la renommée du festival y seront exceptionnellement pour fêter ses dix premières années. Quelques noms comme le guitariste français Louis Bertignac. Des talents marocains, il y en aura tout autant : Hoba hoba spirit, Fnaïr, groupe Tagada… Sans oublier les musiques traditionnelles venues d’autres villes comme Agadir qui sera représentée par le groupe berbère El Baz. Bref, les trois directeurs artistiques du festival, maâlem Abdeslam Akilane (Maroc), Karim Ziad (Algérie) et Loy Ehrlich (France), promettent une édition sans précédant.

El enojo

- Maestro, ¿qué he de hacer para no estar molesto?
Tras una pausa, el alumno prosiguió:
- Algunas personas hablan demasiado, otras son ignorantes. Algunas son indiferentes. Siento odio por aquellas que son mentirosas y sufro por aquellas que calumnian.
El Maestro le miró y le dijo:
- Vive como las flores.
- ¿Vivir como las flores? - preguntó el pupilo, sorprendido.
- Pon atención a esos lirios - dijo el Maestro, señalando un grupo de hermosas flores en su jardín - Ellas nacen en el estiércol. Sin embargo, son puras y perfumadas. Extraen del maloliente abono sólo aquello que es útil y saludable, pero no permiten que lo agrio de la tierra manche la frescura de sus pétalos. Es justo angustiarse con las propias culpas, pero no es sabio permitir que los vicios de los demás te incomoden. Los defectos de ellos son de ellos y no tuyos. Y si no son suyos, no hay motivo para molestarse. Ejercita, pues, la virtud de rechazar todo el mal que viene desde fuera.

mercredi 20 juin 2007

Déjame

Déjame... anda... déjame sanar tus alas para que salgas del viaje sin rumbo, para que encuentres la salida que el desierto de la vida dejó. Y entonces te construiré un baúl enorme para encerrar la soledad y guardar los miedos. Y te amarraré a un cometa y volarás lejos, muy lejos... aunque (muy a mi pesar) no vuelvas. Sé que somos diferentes en los pasos, en las palmas, en los estilos; parecidos en las almas, en las miradas y en los sentidos. Dispares en la historia, coincidentes en el espacio y el culto a la memoria; mis gobiernos en el cielo, tus gobiernos en la tierra.

Pero déjame... anda... Déjame darte mis manos, mis ojos para que llores, la luz de la luna para iluminar tus caminos. Déjame enseñarte lo divertido que es armar frases en la arena antes de que el mar se las coma. Déjame que te cuente mis suspiros y adivine los tuyos. No hay distancias, no hay tiempos, el destino distraído nos unió ¿Qué le vamos a hacer? Déjame enseñarte a pedirle a la vida una tregua; a que el pasado no flagela y que el futuro no es incierto; que la lluvia no pinta de gris el mundo; a abrazar el viento y detener el tiempo. Déjame enseñarte el espacio sobre mi hombro, a deletrear mi nombre para que lo grites cuando te sientas solo y te prometo que apareceré para ayudarte a brincar el vacío.

Deja que con mi voz apague y disipe los demonios que viven en tu interior. Déjame seguir escuchándote hasta provocar mis risas; lo bien que se siente abrazarte... sentirte vivo... y yo te digo que es mejor así, que es mejor que llueva fuera de nuestros ojos, que no lamentarás haberme conocido, que nuestras barreras no funcionan como desprecio sino como atajos y que aprenderemos a derribarlas... o saltarlas... o excavar bajo de ellas. Déjame enseñarte a sentirte como pez en tu acuario voluntario, sin que te den ganas de correr lejos. Enseñarte a que no es tan insoportable el “no saber que hacer”, a no tener rejas en la mente. Déjame sostener (aunque sea un rato pequeñito) tus buenas, tus malas y las no tanto para que te sientas descansado.

¿Qué quieres que haga? Así soy. Me niego a no enseñarte mis ideas y tener que irme lejos con ellas o sentarme en la orilla de tu vida con tendencias certeras de caer; a no mostrarte, a no mostrarme; me niego a la propia celda del que no lucha, me niego a morir sin intentarlo pero, sólo si tú me dejas...

... anda... déjame.



http://elrincondelpichon.blogspot.com/

Melissa ft Khaled - Benthi

mardi 19 juin 2007

Hoy

Esta mañana desperté emocionado con todas las cosas que tengo que hacer antes de que el reloj marque la medianoche...
Tengo responsabilidades que cumplir hoy. Soy importante, mi trabajo es escoger qué clase de día voy a tener.
Hoy puedo quejarme porque el día está lluvioso, o puedo dar gracias porque las plantas están siendo regadas gratis.
Hoy me puedo sentir triste porque no tengo más dinero, o puedo estar contento de que mis finanzas me empujan a planear mis compras con inteligencia.
Hoy puedo quejarme de mi salud, o puedo regocijarme de que estoy vivo.
Hoy puedo lamentarme de todo lo que mis padres no me dieron mientras estaba creciendo, o puedo sentirme agradecido de que me permitieran haber nacido.
Hoy puedo llorar porque las rosas tienen espinas, o puedo celebrar que las espinas tienen rosas.
Hoy puedo auto compadecerme por no tener muchos amigos, o puedo emocionarme y embarcarme en la aventura de descubrir nuevas relaciones.
Hoy puedo quejarme porque tengo que ir a trabajar, o puedo gritar de alegría - ¡Tengo un trabajo!.
Hoy puedo quejarme porque tengo que ir a la escuela, o puedo abrir mi mente enérgicamente y llenarla con nuevos y ricos conocimientos.
Hoy puedo murmurar amargamente porque tengo que hacer las labores del hogar, o puedo sentirme honrado porque tengo un techo para mi mente, cuerpo y alma.
Hoy el día se presenta ante mí, esperando a que yo le dé forma y aquí estoy, el escultor que tiene que darle forma...
LO QUE SUCEDA HOY DEPENDE DE MÍ. YO DEBO ESCOGER QUÉ TIPO DE DÍA VOY A TENER.
Ayudémonos a apreciar el valor de la vida y a ver el color de la sonrisa que nos da el sol al amanecer de cada día.

lundi 18 juin 2007

Hoy nazco de nuevo


Hoy nazco de nuevo.
Un nuevo sol, un nuevo aire, un nuevo aroma, un nuevo destino, una nueva misión.
He estado navegando en un barco que no me llevaba a ningún puerto, que zozobraba constantemente, y que encallaba rápidamente. He tenido que soportar vientos, mareas y rumbos desfavorables.
He luchado durante meses con la ilusión de que todo iba a cambiar, que, a pesar del viento, yo era dueño de las velas.


Hoy nazco de nuevo.
Hoy subo a bordo de un nuevo barco. Hoy cambio mi brújula, mi destino, mi rumbo, mi vida.
Cuando un barco va a la deriva durante mucho tiempo, lo mejor es cambiar de barco, de puesto, de misión. Un barco sin timón te llevará, inevitablemente, a un naufragio.

Hoy nazco de nuevo.
El sol comienza a ascender en el horizonte, y va templando el amanecer. El cielo está despejado, augurio de un gran día.
La mar comienza a tener vida tras su breve letargo en la noche, y el salitre inunda todo con mayor intensidad.
Subo a cubierta, y, tomando el timón, con una sonrisa pongo rumbo a mi destino.

Hoy nazco de nuevo.

dimanche 17 juin 2007

La opinión de los demás

Un viejo y un joven viajaban con un asno. Al llegar a la aldea caminando junto al animal, los niños de la escuela rieron al verlos pasar diciendo:
-Mira esos tontos. Tienen un asno robusto y van caminando. Por lo menos, el viejo podría montarse en él.
Al escuchar a los niños, los hombres pensaron que deberían de seguir el consejo, pues pronto llegarían a otra población y la gente se volvería a reír de ellos. Así pues, el viejo se montó en el burro y el joven caminó detrás.
Entonces encontraron un grupo de gente que los miró y dijo:
-¡Mirad! El hombre viejo montado en el burro y el pobre muchacho caminando.
Así que cambiaron puestos, el hombre viejo caminó y el joven montó en el burro.
Entonces otro grupo de gente se acercó y dijo:
-¡Mira qué muchacho más arrogante! Quizás el viejo es su padre o su maestro, y va caminando mientras el joven va montado en el burro. Esto es contrario a toda norma.
Ahora, ¿qué podían hacer? Ambos decidieron probar la única posibilidad restante: sentarse los dos en el burro. Así que montaron ambos en él.
Entonces otro grupo se acercó y dijo:
-¡Mirad qué gente tan violenta! El pobre burro está casi muerto, mejor sería que lo cargaran ellos en sus hombros.
Así que otra vez lo discutieron y decidieron llevar al burro en hombros, pues de otra manera la gente de la aldea vecina los llamaría tontos. Por lo tanto, cortaron un bambú, colgaron al burro de las patas y lo cargaron. El pobre animal trató de rebelarse -como cualquier burro lo haría- y trató de escapar, pues no era un fanático de la sociedad, no creía en la opinión de los otros. Pero los dos hombres estaban empeñados y lo forzaron, así que el burro se doblegó.
Precisamente cruzaron el puente para llegar a la aldea cuando una multitud se reunió en derredor suyo y exclamó:
-¡Mirad a esos tontos! Jamás existieron idiotas semejantes, en vez de montar el burro lo llevan a cuestas. ¿Se habrán vuelto locos?
El burro mientras tanto se puso inquieto, tan inquieto que saltó y se cayó desde el puente al rió, matándose enseguida. Ambos bajaron al río, y junto al animal muerto el hombre viejo habló al muchacho. El viejo era un maestro Sufí, y el joven su discípulo. El viejo dijo:
-Mira, así como el burro, tú estarás muerto si escuchas demasiado la opinión de los demás. No te preocupes de los demás, pues ellos son muchos y tienen su propia mente, por lo que dirán siempre cosas diferentes. Si continúas escuchando a otros y no escuchas tu propio centro intimo, serás llevado de un lado para otro. Escucha tu voz interior, siéntela y muévete de acuerdo a ella.


¿Cuanto os importa la opinion de los demás?
¿Respetas la opinion de los demas?

jeudi 14 juin 2007

El paquete de galletas


Cuando aquella tarde llegó a la vieja estación le informaron que el tren en el que ella viajaría se retrasaría aproximadamente una hora. La elegante señora, un poco fastidiada, compró una revista, un paquete de galletas y una botella de agua para pasar el tiempo. Buscó un banco en el andén central y se sentó preparada para la espera.

Mientras hojeaba su revista, un joven se sentó a su lado y comenzó a leer un diario. Imprevistamente, la señora observó como aquel muchacho, sin decir una sola palabra, estiraba la mano, agarraba el paquete de galletas, lo abría y comenzaba a comerlas, una a una, despreocupadamente.

La mujer se molestó por esto, no quería ser grosera, pero tampoco dejar pasar aquella situación o hacer de cuenta que nada había pasado; así que, con un gesto exagerado, tomó el paquete y sacó una galleta, la exhibió frente al joven y se la comió mirándolo fijamente a los ojos.

Como respuesta, el joven tomó otra galleta y mirándola la puso en su boca y sonrió. La señora ya enojada, tomó una nueva galleta y, con ostensibles señales de fastidio, volvió a comer otra, manteniendo de nuevo la mirada en el muchacho. El diálogo de miradas y sonrisas continuó entre galleta y galleta. La señora cada vez más irritada, y el muchacho cada vez más sonriente.

Finalmente, la señora se dio cuenta de que en el paquete solo quedaba la última galleta. "No podrá ser tan descarado", pensó mientras miraba alternativamente al joven y al paquete de galletas. Con calma el joven alargó la mano, tomó la última galleta, y con mucha suavidad, la partió exactamente por la mitad. Así, con un gesto amoroso, ofreció la mitad de la última galleta a su compañera de banco.

- ¡Gracias! - Dijo la mujer tomando con rudeza aquella mitad.

- De nada. - Contestó el joven sonriendo suavemente mientras comía su mitad. Entonces el tren anunció su partida.

La señora se levantó furiosa del banco y subió a su vagón. Al arrancar, desde la ventanilla de su asiento vio al muchacho todavía sentado en él anden y pensó: "¡Que insolente, qué mal educado, qué ser de nuestro mundo!"

Sin dejar de mirar con resentimiento al joven, sintió la boca reseca por el disgusto que aquella situación le había provocado. Abrió su bolso para sacar la botella de agua y se quedó totalmente sorprendida cuando encontró, dentro de su cartera, su paquete de galletas... ¡INTACTO!
Cuántas veces nuestros prejuicios, nuestras decisiones apresuradas nos hacen valorar erróneamente a las personas y cometer las peores equivocaciones. Cuántas veces la desconfianza, ya instalada en nosotros, hace que juzguemos, injustamente, a personas y situaciones, y sin tener aun por qué, las encasillamos en ideas preconcebidas, muchas veces tan alejadas de la realidad que se presenta.

Así, por no utilizar nuestra capacidad de autocrítica y de observación, perdemos la gracia natural de compartir y enfrentar situaciones, haciendo crecer en nosotros la desconfianza y la preocupación. Nos inquietamos por acontecimientos que no son reales, que quizás nunca lleguemos a contemplar, y nos atormentamos con problemas que tal vez nunca ocurrirán.

Dice un viejo proverbio:
Peleando, juzgando antes de tiempo y alterándose no se consigue jamás lo suficiente, pero siendo justo, cediendo y observando a los demás con una simple cuota de serenidad se consigue más de lo que se espera.

mercredi 13 juin 2007

El amor y el tiempo

Hubo un tiempo en el que en una isla muy pequeña, confundida con el paraíso, habitaban los sentimientos como habitamos hoy en la tierra. En esta isla vivían en armonía el Amor, la tristeza, y todos los otros sentimientos. Un día en uno de esos que la naturaleza parece estar de malas, el amor se despertó aterrorizado sintiendo que su isla estaba siendo inundada.
Pero se olvidó rápido del miedo y cuidó de que todos los sentimientos se salvaran. Todos corrieron y tomaron sus barcos y corrieron, y subieron a una montaña bien alta, donde podrían ver la isla siendo inundada pero sin que corriesen peligro.
Sólo el amor no se apresuró, el amor nunca se apresura. Él quería quedarse un poquito más en su isla, pero cuando se estaba casi ahogando el amor se acordó de que no debía morir. Entonces corrió en dirección a los barcos que partieron y gritó en busca de auxilio.

La Riqueza, oyendo su grito, trató luego de responder que no podría llevarlo ya que con el oro y con la plata que cargaba temía que su barco se hundiera.
Pasó entonces la Vanidad que también dijo que no podría ayudarlo, una vez que el amor se hubiese ensuciado ayudando a los otros, ella, la Vanidad, no soportaba la suciedad.
Por detrás de la Vanidad venía la Tristeza que se sentía tan profunda que no quería estar acompañada por nadie.
Paso también la Alegría, pero esta tan alegre estaba que no oyó la suplica del amor.
Sin esperanza el Amor se sentó sobre la última piedra que todavía se veía sobre la superficie del agua y comenzó a menguar.
Su llanto fue tan triste que llamó la atención de un anciano que pasaba con su barco. El viejito tomó al Amor en sus brazos y lo llevó hacia la montaña más alta, junto con los otros sentimientos.
Recuperándose, el amor le preguntó a la Sabiduría quién era el viejito que lo ayudo... a lo que ésta respondió..... "El Tiempo"..... el Amor cuestionó: ..."¿Por qué solo el Tiempo pudo traerme aquí?".... La Sabiduría entonces respondió:
"Por que sólo el Tiempo tiene la capacidad de ayudar al Amor a llegar a los lugares más difíciles"...

jeudi 7 juin 2007

Las cosas que el humano es capaz de hacer por amor

Realmente conocemos el verdadero amor? por que muchas veces decimos cosas que haríamos por la otra persona pero del dicho al hecho hay mucho trecho. Cuando sacrifiquemos cosas importantes por esa persona sabremos que es EL AMOR. Personalmente no conozco lo que es el amor verdadero.


Adil Imam- Madrasat al mouchaghibin








BONNE A TOUT CEUX QUI PASSENT LEUR BAC CETTE ANNEE



Adil Imam - from Elwad Sayed El-Shaghaal

mercredi 6 juin 2007

The Story of A Blind Girl


Only few remember what life was before, and who's always been there even in the most painful situations.

Life is A Gift.

Today before you think of saying an unkind word - Think of someone who can't speak.

Before you complain about the taste of your food - Think of someone who has nothing to eat.

Before you complain about your husband or wife - Think of someone ho's crying out for a companion.

Today before you complain about life - Think of someone who went too early to heaven/hell.

Before you complain about your children - Think of someone who desires children but they're barren.

Before you argue about your dirty house, someone didn't clean or sweep - Think of the people who are living in the streets.

Before whining about the distance you drive - Think of someone who walks the same distance with their feet.

And when you are tired and complain about your job - Think of the unemployed, the disabled and those who wished they had your job.

But before you think of pointing the finger or condemning another - Remember that not one of us are without sin and we all answer to one maker.

And when depressing thoughts seem to get you down - Put a smile on your face and thank --- you're alive and still around

Life is a gift- Live it, Enjoy it, Celebrate it, And fulfill it.

mardi 5 juin 2007

lundi 4 juin 2007

RAP MAROCAIN

steph ragga man-el bayda nayda




Yaw Man Steph Ragga Man A Casa Testéh Me3ak Liyouma Fe Le Blad orriginal Ragga Meghribiya Nayda Jaya Men Leblad Liyouma 3chiri Chooo Click Rekourdz Live and Direct Men Casa Lbayda 3chiri Bouge Ton Corps fhad leblan bouge ton body man aaaaaaaaay

{Refrain}

Chow Lbayda Fe El Microphone o Lbayda Fe kol Mekaan Had Style JDid Smiytoo [Casa Blanca] Hada Style MejDoub Hada Flow Me7sous Steph Ragga Man Jaykom Men [Casa Blanca] Baraka Men Lhadra Fe Nass O Baraka Makayen Bass 3ich O Mate7dich Had Stoune [Casa Blanca] Inssan Yed7ak Le7ssan Et L'ambiance Et Show Va s'y K7azz Sma3 Had Le Flow

Gotlak Bayda Nayda Fe Casa Bayda o Fe Kol Mekaan { Zid Yalah héhéhéh ...} Gotlak Bayda Nayda Fe Casa Bayda o Fe Kol Mekaan Chof Me3aya Dj Wela Chof Me3aya Aflan Hada Machi Cha3bi Safi Hada Machi Meckel ola 100% Ragga Meghribi Sma3 O Fham Lem3aan
Meli Haka Mechina Men Jbal RiiF BeriiT Mera Nehdar O Nharaass Skat BeSiiiF Fa 3Matlak Fe L Flow Bnadem 7eslatlo 7na Mgharba Mesalmiiin 3emarni Ghadi Nemiiil
Dj Keyyyyy à Partie Fe Had Style Yooww Naydaa Showww 3Tini LBit O Ragga Crew Yooow Steph Ragga Man 3Chiri Dima 7ader Dans La Place Pass Replace La Place Khelik Me3aya Class
Chofo Chofo ça Ces Theme Fe Had Redio Bojou Bojou Kijitkom Fe Had La partie Yoow Haz Yeddik LFouu9 Tmazek Me3ana Sur Orniyoow T7arek T7arek Lo7 Dok Les Problémes Yooow

{ Refrain }

Chow Lbayda Fe El Microphone o Lbayda Fe kol Mekaan Had Style JDid Smiytoo [Casa Blanca] Hada Style MejDoub Hada Flow Me7sous Steph Ragga Man Jaykom Men [Casa Blanca] Baraka Men Lhadra Fe Nass O Baraka Makayen Bass 3ich O Mate7dich Had Stoune [Casa Blanca] Inssan Yed7ak Le7ssan Et L'ambiance Et Show Va s'y K7azz Sma3 Had Le Flow

{ Refrain }

Baraka 3lina Men Dik Almosi9a Delkilooo hez lbot 7ok Jar SaFi SaFi Sirouu Branché Dak Lmic Diro Mono Wela Sir Youw Sma3 leKlam Yow La Fricance Rah MeghribiYouuw Je rePrésente khouti Fe Had
Style Ragga Nation Je rePrésente Mon Blad Lmaghrib Ces Ma Nation Ha 7na Me3ak Be Neghma Bay Prichen Klaam S7i7 Machi Rii7 Gouud Dima Nichaaan Ch7al Men Flan Kan Fe Zmaan 3endi 9ima O Chaan Ch7aal Men Flan Chaf Deniya Khraj Menha 3eTchaan Deniya Raha Ghada Sa7bi Fi9 O3i9 Bezmaan Kolchi Wela Cheb3aaan khelik Dima Meziyaan
Bin Stouur YekFina Chela Hmoum Sma3 Lem3ani Fham Leklam Hadi Neghma JDida Liyouum Diro B7al L H H lmilodie Rah Nayda Liyoum Brina Nezido LgoDam O Nelonsiw Had Louun

{ Refrain }

Chow Lbayda Fe El Microphone o Lbayda Fe kol Mekaan Had Style JDid Smiytoo [Casa Blanca] Hada Style MejDoub Hada Flow Me7sous Steph Ragga Man Jaykom Men [Casa Blanca] Baraka Men Lhadra Fe Nass O Baraka Makayen Bass 3ich O Mate7dich Had Stoune [Casa Blanca] Inssan Yed7ak Le7ssan Et L'ambiance Et Show Va s'y K7azz Sma3 Had Le Flow




sma3ni - Bigg feat. Steph Ragga man, H-kayn, & Khanssa



[REFRAIN-Khansa](X2)
sa9ssi fia nsa9ssi fik nesma3 sowtek lah yehdik
kelma mennek nkhemmem fik klaami liik

[ter 7or]
yeh ter 7or yaah
kolchi khasso ytwassel ye7yi ssila kayne solo
ra sala rasso lli makhallach l khat yettassel
7ad tfassel l mal machi howa lli ghaykhallik 7assel
3andak tfassel tbarkllah ra dmaghek mwassel
like a weld l'assl peace howa 3onwane kbir w bayne
idane khassna nb9aw 9rab 3la sila s7ab 7bab 9rab
safi ( oh hada decor f chkel khassna ntar9o messmar
w nt9addo bach lli ja ygoul lmgharba daro )


[othman]
3chiri m3ak 3othman man H-kayne khallik mwassel m3aya
khoya dima hakka w choufi l khout nafss l klam mwassel
l ma3na sab9a w 3tini l khbar kima dima kelma sad9a
eh sewwel fia marra marra bach ngol lik eh
a marra 3lik w marra 3lia bach ntwassel eh ( eh)
a bghit ngoul mgharba khout w 7bab tta7do 7ollo l bwab
l yed f l yed nghayro nwasselo

[REFRAIN-Khansa](X2)

[Bigg]
salamo 3alaykom , a sma3ni , a chouf yallah
3andek m3aya 3ayyet lia ma3andekch safi chrih
kolna khout lmgharba 7daya mane l foug l te7t safi ddih
m3akom bi bi bi bigg de de dé dé da don ,
aka chad stoune mal reseau metlou9 f l ON
khoukom f l galb meghribi f dmagh msonné
f rap 3chiri foug l'instru m solé
bghina ntwasslo , chamal janoub ,
wi la kenti mane chmayt ghan9te3 3lik telefoni

[Sif Lsane]
a 7ell wednik w zid sme3 aya ra reseau kber
khallik mconnecté , fhamni l message ra wssel
yeddik fi yeddia ghadi n9adro ndiro chi 7aja
yed lah ma3a l jama3a lach baghine tfertko rba3a
yed we7da ma tseffe9ch , mermella9 sarfe9
lli baghi y9essmo bina l lblad mo7al tessda9
mgharba rjal wlad l jbal gaddine b l wtane
hadchi f jowwala limara f l gloub me7touta

[REFRAIN-Khansa](X2)

[HB2]
salamo 3laykom a toi qui m'ecoute
que que tu soi qui que tu sois si tu me recoi reste a l'ecoute
et ne quitte pas c'est le coeur qui te parle
depuis le depart il a des choses a te dire
alors ne quitte pas chéké oté cheké honnet
c'est toi qui nous sépare fait pas celui qui sait pa ( yeeh)
il est honnét ohh plus fort et plus sonné
il est honnét plus de chance d'avancer plus vite

[Khansa] - allo stepf
[steph] - oué Kansa
[Khansa] - wa finek
[steph] - wa chad stoune m3a rassi
[Khansa] - wa serbi a sa7bi ra kantsennawk

[steph Ragga Man]
Steph ragga man maghribi haz m3ak drapo w ghadi
kelma menni kelma mennek chad stoune f bladi
khallik mane douk l blanat ched m3aya a sa7bi lyoum
35 mellione w 7na mgharba f had l koune
bghina nt3awno tkoune nefsna dima mobilla
se7raoui , chel7 o 3arbi mgharba f had stylla
bghina tziane l we9t w l7al ykoune mli7
nba3do 3la tri9 l 7ram o man be3d nmchiw m3a dik ri7

[RFRAIN-Khansa](X2)


"dedicado a mi asma... a mi Sandra... a mi yassine... a mi ... a mi tifa... a mi mery micha "

vendredi 1 juin 2007

Si no hay verdad en el amor


Hay hipocresía. Muchas veces se dicen palabras bonitas, se estrechan las manos, y quizás hasta se den un beso, pero en el fondo no hay verdad.Por eso [somos] una civilización donde se ha perdido la confianza del hombre a otro hombre, donde hay tanta mentira, donde no hay verdad, no hay fundamento de amor. No puede haber amor donde hay mentira.Falta en nuestro ambiente la verdad. Y cuando la verdad se dice, ofende; y se callan las voces que dicen la verdad.